Vous le connaissez sous le nom de Maher Beauroy, fleuron du Jazz Caribéen. Aujourd’hui, vous allez rencontrer BOWA, son univers pop aux multiples influences.
Pour son tout premier single, il reprend « 20 ANS », tube incontournable des années 90 pour toute une génération de caribéens. Le zouk a laissé place à une batucada électro, gorgée de 808 et de synthés mélancoliques. Une esthétique que BOWA a baptisé : “FUTURHIZOME”.
En se créant un double chatoyant et super-héroïque, le chanteur et compositeur Maher Beauroy nous offre un voyage supersonique vers une île qu’on ne trouve nulle part sur la carte, mais qui sous la surface est reliée à toutes les insularités, toutes les rencontres, tous les rythmes.
L’électro caribéenne de BOWA transpire une virtuosité corrosive avec des mélodies imparables. Maher Beauroy prouve avec ce projet pop qu’il sait s’épanouir sur d’autres terrains de jeux que ceux du jazz instrumental. Ses chansons s’inscrivent dans un courant qu’il appelle “Futurhizome”. Une pop créolisée et rétro-futuriste, qui rejoint en fraternité des artistes tels que David Walters, Major Lazer ou Delgrès.
Le Futurhizome, initié par BOWA, s’inspire du réel antillais et célèbre la “relation”, au sens où l’avait défini l’écrivain et poète martiniquais Édouard Glissant, père de la “Pensée Rhizome” et du “Tout-Monde”.
Le Futurhizome, c’est la promesse de tous les possibles et de toutes les conversations (entre les styles, les personnes et les époques), et un voyage vers un futur où les identités multiples permettraient de “changer en échangeant”.
