Keyvan Chemirani élargit la grammaire rythmique persane du trio familial (zarb, daf, udu) aux syntaxes de l’Inde (Prabhu Edouard, tablas) et de l’improvisation européenne (avec Stéphane Galland, d’Aka Moon, batterie).
Sur certains morceaux, les percussions mettent en valeurs les magnifiques musiciens mélodistes présents, ou portent les poèmes mystiques persans du 12ème, 13eme siècle (Hâfez, Rumi…) scandés par Djamchid Chemirani. Sur d’autres donc, c’est le rôle “d’instrument concertant » des percussions qui est mis en valeur, explorant de multiples facettes et mettant en valeur l’incroyable diversité et richesse à la fois de langage et d’expressivité de ces instruments.
Le caractère modal, oriental, des compositions est porté par deux immenses musiciens grec et français : Sokratis Sinopoulos et Vincent Ségal, respectivement à la lyra et au violoncelle.
Sur certains morceaux, les percussions mettent en valeurs les magnifiques musiciens mélodistes présents, ou portent les poèmes mystiques persans du 12ème, 13eme siècle (Hâfez, Rumi…) scandés par Djamchid Chemirani. Sur d’autres donc, c’est le rôle “d’instrument concertant » des percussions qui est mis en valeur, explorant de multiples facettes et mettant en valeur l’incroyable diversité et richesse à la fois de langage et d’expressivité de ces instruments.
Le caractère modal, oriental, des compositions est porté par deux immenses musiciens grec et français : Sokratis Sinopoulos et Vincent Ségal, respectivement à la lyra et au violoncelle.