Miso Na Mudumbu, littéralement « les yeux et la bouche » : les yeux qui nous permettent de voir les injustices et la bouche qui nous donne la possibilité de les dénoncer. C’est sur un titre où la voix de Valérie Ékoumè et les percussions s’entremêlent sur un rythme Ekang (Centre du Cameroun), que la chanteuse franco-camerounaise dénonce les inégalités qui s’accentuent. Il est clair que nous ne pouvons plus fermer ni les yeux, ni la bouche. L’heure est venue de relever la tête et de se battre pour ses convictions. Di ma tèlè Miso na Mudumbu tatan !
