Pour la première fois de sa carrière, Fawzy Al-Aiedy rend hommage à la musique traditionnelle d’Orient (Irak, Liban, Jordanie, Égypte) et au Maghreb (Maroc, Tunisie, Algérie), les épiçant de ses propres mélodies. Grâce à Ishtar Connection, les chansons traditionnelles, les modes et les rythmes correspondent avec des sons et des rythmes électroniques. C’est une alchimie surprenante, mais accrocheuse entre les musiques du monde et l’électro, façonnée par un maître de la musique du Moyen-Orient et trois jeunes artistes issus des musiques actuelles : Vincent Boniface, multi-instrumentiste de la Vallée d’Aoste (Italie), Amin Al-Aiedy (guitare basse, arrangement), GSTN (Sample, Beatmaking).
Qui pourrait être mieux que cette nouvelle génération, élevée entre les deux cultures ? Et quel meilleur nom choisir qu’Ishtar, une figure célèbre et fascinante de la mythologie mésopotamienne, la déesse de l’amour et de la guerre, qui a uni ces deux opposés.
Ces sons font écho à l’esprit de la musique orientale profane. Mélodies de oud électriques et les voix arabes se mélangent avec des textures de synthé, des cornemuses et d’autres instruments acoustiques à une harmonie et un groove inattendu, parfaitement arrangés.
Bienvenue à l’Oriental Fest Noz.
